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Monde. La Chine au chevet de l’Italie

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Aide ou tromperie de la part du PCC ?

Le 9 mars 2020, la police italienne effectuait une inspection de quarantaine à la gare de Santa Lucia à Venise pour s’assurer que les piétons ne contrevenaient pas aux règles de la quarantaine. (Image : Ulrike Leone / Pixabay)
 

L’épidémie du virus du PCC (Coronavirus Covid-19*) est devenue une pandémie mondiale. À l’heure actuelle, 144 pays sont touchés dans le monde. Derrière la Chine continentale, l’Italie est le deuxième pays le plus sinistré. Le PCC en a profité pour promouvoir son « modèle anti-épidémique » à l’Italie et a « fait don » de fournitures médicales dans le but de redorer son image internationale. En réponse, Giorgia Meloni, une députée italienne, a déclaré : « Ils ne peuvent pas me tromper. Le PCC n’est pas le sauveur de notre pays. »

En décembre dernier, le virus du PCC a éclaté pour la première fois à Wuhan, dans la province du Hubei. Suite à sa dissimulation par le Parti communiste chinois, cette épidémie s’est rapidement propagée à travers toute la Chine et le monde entier. Depuis l’annonce du confinement le 23 janvier, la Ville de Wuhan est toujours confinée. En raison de l’arrivée en masse des Chinois, la situation épidémique en Italie n’arrête pas de se détériorer.

Le 12 mars, le Parti communiste chinois a envoyé en Italie, par vol spécial direct Shanghai-Rome, un «groupe de 9 experts anti-épidémie» avec 31 tonnes de fournitures médicales pour soi-disant «sauver» l’Italie, se métamorphosant d’un pays exportateur du coronavirus en «pays sauveur».

Selon les médias locaux italiens, la députée italienne Giorgia Meloni s’est exprimée sans mâcher ses mots, sur le «sauvetage du PCC», lors d’une interview télévisée : « Le Parti communiste chinois ne peut pas me tromper, il n’est pas le sauveur de notre pays. »

Selon Giorgia Meloni, beaucoup pensent que les Chinois ont secouru les Italiens en leur «offrant» des masques, les Chinois sont donc considérés comme le «Messie» qui sauve l’Italie. Mais les actions du PCC ne peuvent pas la tromper, car ce sont précisément les Chinois qui ont amené le coronavirus en Italie. « Ne considérez surtout pas le PCC comme le seul modèle à suivre ».

Guilia Pompili, une journaliste italienne bien connue, a également révélé dans les médias l’hypocrisie du PCC.

Elle a fait savoir que selon les informations du Ministère des Affaires étrangères et du Ministère de la Défense civile, les « matériaux de secours » envoyés par le PCC ne sont pas des dons et que rien n’était gratuit.

Guilia Pompili a souligné que le PCC avait récemment promu activement et dans le monde entier le « modèle chinois pour lutter contre l’épidémie », et que maintenant, il exporte en grande quantité des fournitures médicales, il s’agit en réalité de la deuxième vague de propagation politique du Parti communiste chinois. Si vous observez de près les médias officiels chinois, vous constaterez que ces propagandes sont axées sur le thème de « la Chine (le PCC) caritative ». En plus de l’Italie, le PCC a également prévu de faire pareil dans d’autres pays européens.

L’Italie a enregistré 35,713 cas confirmés et 2,978 décès le 18 mars dans la soirée.

L’Italie : le PCC devrait cesser de diffuser des fake news

Le 15 mars, selon le média italien en ligne Linkiesta, en raison de l’épidémie du Coronavirus, l’Italie a pris des mesures telles que le confinement national pour limiter les déplacements. Confinés chez eux, Les habitants italiens ont applaudi sur leur balcon à midi, le 14 mars, pour montrer leur reconnaissance envers le personnel médical, y compris le personnel médical chinois qui s’est rendu en Italie pour prêter main forte.

Plus tard, Hua Chunying, porte-parole du Ministère des Affaires étrangères de Chine, a publié sur son compte Twitter un message affirmant que le peuple italien était en train de «Remercier la Chine» à haute voix, et que l’hymne national chinois était diffusé dans les rues de Rome pour remercier la Chine de les avoir aidés à vaincre le virus. Plus tard, Zhao Lijian, un autre porte-parole du Ministère chinois des Affaires étrangères a également tweeté le même message.

En réalité, le 15 mars, la société américaine Getty Images a pris une photo des habitants de Rome, en Italie, chantant l’hymne national sur leur balcon, et Getty Images a clairement précisé qu’ils chantaient leur propre hymne national.

En outre, VOA a également rapporté que, dans la soirée du 13 mars, de Naples à Rome en passant par Turin, les Italiens confinés chez eux étaient sortis sur leur balcon pour chanter l’hymne national, en tapant sur des casseroles, pour s’encourager mutuellement.

Pour répondre au message de Hua Chunying sur Tweeter, le ministre italien des Affaires étrangères Luigi Di Maio a répliqué que Hua Chunying est l’un des responsables des structures de propagande du PCC, et que son travail comprend évidemment la diffusion des fausses informations, tout comme le message qu’il avait publié sur son compte tweeter officiel. Luigi Di Maio a souligné que le gouvernement italien avait encore beaucoup de situations à traiter et a appelé les autorités de Pékin à cesser immédiatement de diffuser de fausses nouvelles à ce stade.
 

(Ndlr) Le coronavirus trouve son origine en Chine sous le régime du PCC. Les autorités du PCC ont caché la vérité, ce qui a provoqué la pandémie mondiale. Les habitants de Wuhan, du Hubei, de la Chine et du monde entier sont tous des victimes. Le Parti communiste chinois n’est pas la Chine, ni ne peut représenter la Chine. Par conséquent, le virus qui émerge sous le régime du Parti communiste chinois devrait être appelé «le virus du Parti communiste chinois».

* Certains internautes chinois comprennent le nom officiel de l’OMS pour COVID-19 comme «(Chinese) Communist Output Virus In December 2019» (Le Virus exporté par le PCC en décembre 2019)

Traduit par Caroline Daix

Source : https://m.secretchina.com/news/gb/2020/03/17/926527.html

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