Ovation debout à la fin du concert donné le 21 octobre par le Shen Yun Symphony Orchestra au Symphony center orchestra hall de Chicago (Edward Dai). (Image : Shenyunperformingarts.org)
Et voilà, nous avons déjà accompli la moitié de la tournée de 2014 avec l’orchestre symphonique. Nous revenons de Toronto et juste avant, nous avions joué à Boston, New York et Washington DC. Il n’y a pas de joie plus grande que d’entendre le tonnerre d’applaudissements des spectateurs après un concert bien joué.
J’adore regarder, depuis les instruments à vent au-dessus des instruments chinois, puis des cordes et finalement du chef d’orchestre, pour voir le public littéralement sauter de leurs sièges pour applaudir. Pour moi, c’est le bonheur absolu. Comme jeune musicien, j’aspirais à un objectif en particulier – et jouer avec Shen Yun m’a permis de l’accomplir. Mon objectif était de rendre les gens heureux à travers la musique.
Avec les applaudissements du public, tout est là : ils sont heureux. Quand nous jouons, nous avons l’impression que la musique que nous produisons va au-delà du simple divertissement, comme s’il y avait un pouvoir magique qui remplissait la salle de concert, pendant nos spectacles. C’est un pouvoir qui permet de dissoudre les complexités de nos vies quotidiennes.
La musique au-delà des frontières
Notre orchestre est composé de nombreux membres internationaux, ce qui rend le groupe très divers et intéressant. Comme vous pouvez le deviner, par le nom de l’orchestre, nous avons beaucoup de membres asiatiques. Mais nous avons aussi des musiciens d’Espagne (surtout les cuivres), d’Arménie (surtout les cordes), de Pologne, d’Allemagne, d’Italie, de Bulgarie, d’Australie, de Slovaquie, d’Ukraine, des États-Unis et du Canada. Avec toutes ces différentes nationalités, notre tournée symphonique ressemble à une tournée des Nations Unies.
