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Nature. Viktor Schauberger : l’eau est vivante

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Le naturaliste autrichien Victor Schauberger a théorisé que l’eau est vivante. (Image : pixabay CC0 1.0)
 

Avant que le Dr. Masuru Emoto n’ait avancé l’idée que la conscience humaine a un effet sur la structure moléculaire de l’eau, le naturaliste autrichien Viktor Schauberger (1885-1958) avait émis une théorie encore plus fascinante. Il a avancé l’idée que l’eau est vivante.

L’eau est vivante

« Si l’eau était réellement ce que les hydrologues considèrent comme une substance chimiquement inerte, alors cela fait longtemps qu’il n’y aurait plus d’eau ni de vie sur cette Terre. Je considère l’eau comme le sang de la Terre. Son processus interne, s’il n’est pas identique à celui de notre sang, est néanmoins très similaire. C’est ce processus qui donne à l’eau son mouvement », a déclaré un jour V. Schauberger (Whole Life Times).

Lorsqu’il était jeune, Victor Schauberger avait pour habitude de s’asseoir au bord d’un ruisseau et d’observer les mouvements de l’eau avec beaucoup d’intérêt. Ce sont ces observations qui l’ont finalement convaincu que la conception mécanique du mouvement de l’eau était fausse. Il s’est rendu compte que l’eau, comme tout autre organisme vivant, a une mémoire et réagit à son environnement.

V. Schauberger a très clairement expliqué la capacité naturelle de l’eau à se déplacer vers le haut dans un écosystème forestier sain. Il a tiré cette conclusion après avoir étudié une source recouverte d’un toit de pierres. Lorsque Schauberger a enlevé les pierres et que la source a été exposée à la lumière du soleil, l’eau de la source a lentement disparu. Cependant, lorsqu’il a remis les pierres en place, l’eau de source est réapparue comme par magie. C’était comme si l’eau avait la mémoire des pierres et réagissait à leur présence en les « cherchant » par un mouvement ascendant des profondeurs de la terre.

 

Lorsqu’il a remis les pierres en place, l’eau de source est réapparue comme par magie.  (Image : pixabay / CC0 1.0)
Lorsqu’il a remis les pierres en place, l’eau de source est réapparue comme par magie.  (Image : pixabay CC0 1.0)
 

Dans le cadre de ses recherches sur les cours d’eau, Schauberger a émis l’hypothèse que lorsque l’eau est saine, elle se tord et vibre de manière très spécifique, lui permettant de remplir sa fonction de canal d’énergie et de transport des nutriments et des déchets pour tous les organismes. Il était d’avis que, depuis la Première Guerre mondiale, les écosystèmes aquatiques de la Terre se détériorent et que l’humanité finira par se retrouver au bord de l’effondrement, en raison de son incapacité à comprendre comment toute vie sur Terre est interconnectée et interdépendante.

« La vision de V. Schauberger est entièrement holistique. Ce terme et sa propre vision du monde sont souvent mal compris dans le courant dominant de notre culture. Il se représente la vie comme un grand drame, dans lequel tous les organismes jouent un rôle. Chaque cellule et chaque molécule d’eau émet une note qui devient collectivement la musique de la vie, parfois discordante, mais généralement développant une création orchestrale harmonieuse et de plus en plus complexe. Il se peut que nous devions passer par un niveau de rupture dans notre culture avant de pouvoir vraiment apprécier l’extraordinaire prescience et les conseils de Viktor Schauberger », selon le site schauberger.co.uk.

Bien que V. Schauberger ait été souvent raillé pour sa théorie selon laquelle l’eau est un véritable organisme vivant, diverses études scientifiques réalisées ces dernières années lui donnent raison.

Expérimenter la conscience de l’eau

Des scientifiques de l’Institut aérospatial de l’Université de Stuttgart en Allemagne ont mené une étude dans laquelle il a été demandé à un groupe d’étudiants de recueillir une seule gouttelette dans une même masse d’eau. Lorsque les chercheurs ont étudié les gouttelettes collectées, ils ont été stupéfaits.

Ils ont découvert que la forme microscopique des gouttelettes variait considérablement selon l’étudiant qui les avait collectées. La gouttelette semblait répondre à la personne, créant ainsi des motifs microscopiques uniques pour chaque individu.

Les membres de l’équipe ont décidé de réaliser un deuxième test au cours duquel ils ont déposé une fleur dans un plan d’eau. Lorsqu’ils ont examiné les gouttelettes recueillies dans l’eau, ils ont constaté que chaque gouttelette produisait le même motif. Mais lorsqu’ils ont placé une fleur d’une espèce différente dans l’eau, les gouttelettes collectées ont montré un modèle complètement différent. Les scientifiques ont conclu que l’eau a une mémoire.

 

Lorsqu’ils ont placé une fleur d’une espèce différente dans l’eau, les gouttelettes recueillies ont montré un tout autre motif. (Image : pixabay / CC0 1.0)
Lorsqu’ils ont placé une fleur d’une espèce différente dans l’eau, les gouttelettes recueillies ont montré un tout autre motif. (Image : pixabay CC0 1.0)
 

Si l’on compare ces résultats au fait que 70 % du corps humain est littéralement composé d’eau, de nouvelles possibilités passionnantes apparaissent. Étant donné que l’eau a la capacité de stocker des informations, il est possible que chaque goutte d’eau dans notre corps soit potentiellement une réserve de souvenirs. Même les larmes que nous versons pourraient contenir des informations sur les tristes souvenirs qui les ont déclenchées.

Traduit par Fetty Adler

Version en anglais : Viktor Schauberger: The Man Who Taught Us Water Is Alive

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